FO, fidèle au principe de l’internationalisme ouvrier, apporte régulièrement tout son soutien aux camarades et syndicats étrangers, dans tous les secteurs, afin de les aider à garantir et faire respecter leurs droits fondamentaux. Ce film est une autre façon de mettre en lumière ces combats quotidiens pour le progrès social.
Le 24 avril 2013 se produisait la catastrophe du Rana Plaza au Bangladesh, causant plus de 1 100 morts dans cette usine de production textile. Emblématique des conditions parfois désastreuses de santé et sécurité au travail (SST) que l’on rencontre trop souvent en bout de chaîne d’approvisionnement au prétexte de compétitivité et de concurrence, cet accident avait alors aussi mis en lumière le rôle qu’ont les syndicats à jouer dans l’amélioration des conditions de travail et l’importance de la liberté syndicale.
FO, fidèle au principe de l’internationalisme ouvrier, apporte régulièrement tout son soutien aux camarades et syndicats étrangers, dans tous les secteurs, afin de les aider à garantir et faire respecter leurs droits fondamentaux.
C’est tout le sens du soutien aujourd’hui apporté par FO à ce film « Made in Bangladesh » de Rubaiyat Hossain, film récompensé par le festival du film de Saint-Jean-de-Luz pour le prix de l’interprétation féminine.
Sortant le 4 décembre 2019, ce film raconte le parcours courageux et tenace d’une ouvrière du textile au Bangladesh qui décide, envers et contre tout, de créer un syndicat dans son usine textile, afin de dénoncer les cadences infernales, les conditions de travail, le traitement des salariés, les salaires de misère. Une ouvrière qui se bat pour ses droits et ceux de ses collègues. Ce film est une autre façon de mettre en lumière ces combats quotidiens pour le progrès social.
Des projections débats avec les représentants locaux de FO peuvent être mises en place. Si vous êtes intéressés, prenez contact avec le secteur international (malexandre@force-ouvriere.fr).
Source: Éditoriaux de jean-claude Mailly