En cette journée internationale de la paix, Force Ouvrière réaffirme plus que jamais son attachement à l’expression « Pour le pain, la paix, la liberté » qui rappelle l’engagement historique de FO, incarné dès ses origines par son fondateur Léon Jouhaux, prix Nobel de la paix en 1951, « l’interprète fidèle et le serviteur dévoué de l’idéal de paix et de justice ».
Cette journée internationale coïncide avec le lancement du Sommet pour l’Avenir des Nations-Unies qui vise à relancer les efforts à travers le monde pour atteindre les objectifs de développement durable à l’horizon 2030, comprenant le travail décent, l’éradication de la pauvreté ou encore l’égalité de genre.
FO rappelle à l’occasion de cette journée internationale, et à la veille d’un nouveau sommet international sur le développement social après celui de 1995, son profond attachement au multilatéralisme et au rôle de chef de file de la régulation sociale au niveau mondial assumé par l’Organisation Internationale du Travail, plus que jamais centrale pour assurer le rapprochement des peuples et des travailleurs dans un monde profondément marqué par les divisions et les conflits.
Aux côtés de la Confédération Syndicale Internationale et de la Confédération Européenne des Syndicats, FO réaffirme sa solidarité envers les travailleurs et les syndicats qui sont les premières et principales victimes des conflits qui sévissent partout dans le monde. FO continue d’appeler à une résolution pacifique de tous les conflits dans le respect du droit international avec un engagement des autorités françaises en ce sens, comme FO a pu le demander dans un courrier adressé au Premier ministre il y a quelques jours seulement face à la situation dramatique au Moyen-Orient.