Si au 1er juillet certains changements ne sont pas en lien avec la crise sanitaire (passage du congé paternité à 25 jours fractionnables, caractère opposable du diagnostic de performance énergétique d’un logement…) d’autres le sont totalement. Parmi eux, la poursuite, mais avec une baisse à 72 % du salaire net, de la prise en charge (par l’État et l’Unédic) du chômage partiel et son maintien à 84 % jusqu’au 31 août dans les entreprises les plus touchées par la crise. Quant à l’augmentation de 9,96 % des tarifs réglementés du gaz au 1er juillet, elle est due notamment à la forte hausse des prix du gaz sur le marché mondial dans le cadre de la reprise économique, explique la Commission de régulation de l’énergie. Pour les ménages, la facture énergétique s’annonce salée.